Chez vous

Il y a des gestes qui pourraient vous sembler bizarres voire dégoûtants mais qui contribuent, à petite échelle, à protéger l’environnement. Par exemple, si on vous dit : faites pipi sous la douche, que diriez-vous ? Jamais de la vie ! Pourtant, cela économiserait une chasse d’eau, sachant qu’une chasse d’eau, c’est une bonne quantité d’eau. Répétez-vous ceci : c’est économique et les urines sont stériles. D’ailleurs, pour la douche, remplacez votre pomme de douche avec un modèle avec contrôle de débit d’eau. Ainsi, vous pouvez gérer la quantité d’eau à utiliser. Dans le même objectif, ne prenez plus de bains, car un bain consomme entre 150 et 200 litres d’eau contre 30 à 80 litres d’eau avec une douche.

De bonnes habitudes

Pour ne rien perdre ni rien jeter, pensez à récupérer les eaux inutilisées. De quoi est-il question ? Par exemple, mettez dans un récipient l’eau froide qui coule avant qu’elle ne soit chaude. Servez-vous-en ensuite pour la chasse d’eau ou pour tout autre usage (c’est de l’eau propre!). Pour l’eau avec laquelle vous lavez vos tomates ou vos salades, pourquoi ne pas l’utiliser pour arroser vos plantes ? Maintenant, pour votre jardin, préférez les engrais naturels tels qu les algues vertes séchées ou la cendre de bois ou encore le purin d’orties. C’est tout aussi efficace mais respectueux de l’environnement et surtout, pas cher. Sinon, installez votre compost et mettez-y vos épluchures (celles de vos fruits et légumes, les coquilles d’œufs, le marc de café, etc.).

Les avantages des éoliennes

Production d’une énergie propre et renouvelable

Contrairement aux énergies fossiles comme le charbon, le gaz ou le pétrole, la production d’électricité à partir du vent n’entraîne pas d’émissions de gaz à effet de serre. De plus, l’énergie puisée est à la fois renouvelable et inépuisable. En effet, contrairement aux ressources traditionnelles qui se reconstituent très lentement, le vent se produit naturellement (et à volonté) quelle que soit la saison.

Faibles coûts d’exploitation

Il est vrai que la mise en place du matériel et des équipements nécessaires représente une somme assez conséquente au démarrage du projet. Cependant, une fois celui-ci opérationnel, les coûts d’exploitation sont relativement faibles : le vent est gratuit et les turbines sont faciles à entretenir.

Les impacts négatifs des éoliennes

Nuisances sonores et visuelles

Les pales produisent un bruit désagréable, voire assourdissant, lorsqu’elles tournent à longueur de journée. De plus, comme les éoliennes doivent être placées en hauteur afin de capter plus de vent, elles peuvent souvent dénaturer le paysage. Cela risque d’impacter sur les activités touristiques du village ou de la région où elles sont implantées.

Disparition ou dégradation des habitations des animaux

Les pales d’une éolienne sont très grandes et tournent à des vitesses très élevées. Malheureusement, leurs lames peuvent tuer de nombreuses espèces utiles au bon fonctionnement de notre écosystème comme les oiseaux et les chauves-souris. Fort heureusement, et pour faire face à ce problème, les responsables au niveau des régions concernées s’engagent à trouver des habitats naturels conformes aux espèces locales avant la mise en place des parcs éoliens.

Un appareil de rafraichissement d’air qui rivalise avec une climatisation

On a l’habitude de voir des systèmes de rafraichissement d’air individuel : mini-ventilateur, mini-climatiseur, etc. Ces appareils ne coûtent que quelques dizaines d’euros. Toutefois, comme leur nom l’indique, ils ne couvrent qu’un petite espace. Il existe une solution beaucoup plus confortable et efficace : Le rafraîchisseur d’air de la marque Foxair.

Imposant, il peut couvrir un grand volume, et ce, tout en vous évitant les démarches de paramétrages et de branchements compliqués. Le tout vous sera proposé à un tarif économique. Tout dépend du modèle et de ses caractéristiques. En effet, plusieurs types d’appareils sont disponibles auprès de la marque afin de répondre à diverses demandes.

Une climatisation mobile et pratique

Ce système de climatisation fonctionne avec une technique de refroidissement par évaporation. Ce qui permet de changer rapidement et de manière homogène l’ambiance dans la pièce. Non seulement il rafraîchit, mais en plus il humidifie l’air pour un maximum de confort. C’est une technique idéale pour rafraichir l’air de votre entrepôt, et ce, peu importe les conditions climatiques et les températures, dans votre région. D’ailleurs, plus il fait chaud, plus cet appareil sera efficace et vous garantira ainsi un maximum de confort.

C’est un appareil mobile et pratique. Il se branche et s’utilise facilement. Il reste à lui trouver une place dans votre unité de production : un endroit facile d’accès et qui permet de diffuser l’air frais dans toute la pièce. Les techniciens de la marque pourront vous accompagner dans la mise en place de votre nouvel appareil de climatisation.

Un système de climatisation écologique et économique

L’appareil pour rendre l’air plus rafraichissant est écologique. Il fonctionne avec l’eau : sans gaz frigorifique ou gaz à effet de serre comme la majorité des systèmes de climatisation proposés sur le marché. Il n’en demeure pas moins efficace. Ce qui permet d’apporter de la fraicheur dans les différentes endroits de votre hangar ou atelier. Il respecte d’ailleurs la norme RT2005.

Par ailleurs, le rendement d’un appareil de climatisation mobile de ce genre est intéressant. Il ne consomme pas énormément d’électricité, et ce, à l’image des ventilateurs. L’adopter, c’est faire un geste écologique. Ce type d’appareil est aussi économique. Ne consommant que peu d’eau, cet appareil ne vous coûte que quelques centaines d’euros par an.

Bref, à la recherche d’une solution pour améliorer le confort de votre outil de travail en été, sans passer par les solutions conventionnelles de climatisation ? L’appareil de rafraîchissement d’air est l’allié idéal : simple, efficace, pratique et économique.

Le réchauffement de la terre influe sur notre vie quotidienne

Les impacts sont surtout axés sur notre nourriture, notre sécurité, notre santé, nos habitations, etc. À titre d’exemple, il se peut que des régions habituellement humides et chaudes deviennent sèches ou froides dans les 10 prochaines années. Cela va évidemment avoir des répercussions sur les habitudes des populations locales, et pourrait même les inciter à immigrer dans des endroits plus confortables. Les pénuries alimentaires qui en résultent pourraient augmenter le risque de crises humanitaires comme ce qui se passe déjà dans plusieurs pays d’Afrique et d’Asie.

Un risque accru de catastrophes naturelles pour les années à venir

Douze des vingt mégapoles du monde sont vulnérables à l’élévation du niveau de la mer, aux mouvements de terrain (affaissement, effondrement, etc.), ainsi qu’aux feux de brousse. Depuis le début du troisième millénaire, les médias n’ont cessé de diffuser des images d’incendies de forêts ou d’inondation partout à travers le monde. Malheureusement, ces incidents risquent encore de perdurer si des mesures préventives ne sont pas prises au sérieux par tout un chacun. Presque chaque été, on dénombre des milliers de pertes de vies humaines et animales causées par la disparition des forêts et par les inondations.

Quid de notre santé ?

Le climat a un rôle à jouer dans la santé des gens. Les augmentations ou les baisses de température peuvent entraîner un stress fréquent, tout en causant certaines maladies contagieuses. Il ne faut pas aussi oublier que plus d’un quart de la population mondiale vit dans l’extrême pauvreté. Ces personnes sont fragiles et ne supporteront pas les effets du réchauffement climatique à court et à moyen terme.

Certains supplantent les véhicules motorisés par des véhicules simples à deux roues, comme la bicyclette. D’autres utilisent des énergies renouvelables comme le soleil au lieu de l’électricité.

On peut ainsi dire que ce processus qui est l’économie d’énergie réduit en plus de la surconsommation, le taux de CO2 émis dans l’atmosphère.

Il diminue par la même occasion la facture d’électricité et aide les acheteurs à mettre un peu d’argent de côté. Toutefois, comment mettre en place ce mécanisme qui est l’économie d’énergie ?

Limiter l’usage des appareils électroniques

Lorsque vous achetez votre télévision, privilégiez un écran de faible puissance (inférieur à 800W). N’installez pas de télévision dans les chambres, si vous en avez une dans la pièce à vivre ; cela aura plein de conséquences positives pour votre vie et celle de vos enfants.

En multipliant les appareils, vous augmentez votre consommation. Utilisez des multiprises pour débrancher vos appareils multimédia, cela évitera qu’ils restent en mode veille.

Lorsque vous n’utilisez pas vos chargeurs de téléphone ou d’ordinateur, débranchez-les. De la même façon, éteignez les ordinateurs plutôt que de les laisser en veille. Vous économiserez ainsi de l’énergie et allongerez la durée de vie de votre disque dur.

Une box internet consomme environ 200kWh par an pour un usage moyen. En la branchant sur une minuterie, elle s’éteindra toute seule en fonction des réglages.

N’hésitez pas non plus à modérer l’usage d’appareils numériques. De ce fait, triez et supprimez les mails inutiles sur votre boite mail et faites le tri dans vos fichiers sauvegardés dans le Cloud ; évitez d’ouvrir plusieurs onglets en même temps sur votre navigateur web.

Enfin privilégiez les réunions à distance en audio lorsque la visioconférence n’est pas nécessaire.

Affiner l’utilisation des appareils électroménagers

En 20 ans, la consommation d’électricité des ménages en petits appareils électroménagers a doublé. 95% des foyers sont désormais équipés d’un réfrigérateur, d’un lave-linge, d’une télévision, un ordinateur… Il suffit alors de quelques habitudes pour réduire leur impact sur l’énergie ainsi que la facture.

Côté réfrigérateur, vérifiez régulièrement sa température et dégivrez le congélateur une fois tous les 3 mois. Ce faisant, vous limiter la consommation énergétique du réfrigérateur.

Pour ce qui est de la machine à laver, réduisez la température de lavage de vos vêtements (un cycle à 40°C vous permet d’économiser 25% d’énergie par rapport au cycle à 60°C), privilégiez par la suite les cycles courts.

En outre, programmez votre lave-linge pour qu’il fonctionne en heures creuses. Quant aux cocottes minutes ou les fours, veuillez recouvrir votre casserole quand vous faites bouillir de l’eau. Vous consommerez alors 4 fois moins d’électricité (si vous avez des plaques à induction).

Suivre sa consommation d’énergie

Pour savoir si vous êtes en bonne voie de réaliser une économie d’énergie, vous devez avoir une visibilité à tout moment sur votre consommation énergétique. Vous pouvez ainsi anticiper le montant de vos prochaines factures et savoir comment réduire votre consommation d’énergie en appliquant quelques éco-gestes au quotidien.

De nombreux dispositifs en ligne vous permettent également de comparer votre consommation à celle de foyers similaires et savoir si votre foyer est plutôt économe ou énergivore.

Réduire la consommation en eau

Il existe différentes manières de réduire sa consommation en eau dont :

La récupération d’eau froide

Pour éviter les gaspillages superflus, pensez à vérifier régulièrement l’état de votre tuyauterie afin de détecter d’éventuelles fuites.

Par exemple, une fuite de chasse d’eau représente un gaspillage d’environ 25 litres à l’heure ce qui représente 219 m3 par an, soit un coût de 638,28 € par an !

En installant une chasse d’eau à double débit ou en décidant de réduire le volume de la chasse d’eau en y mettant une éco-plaquette ou bien une bouteille d’eau, vous pouvez faire des économies substantielles ! Pour arroser vos plantes ou laver votre véhicule, pensez à récupérer l’eau de pluie.

L’économie d’eau chaude sanitaire

Privilégiez les douches aux bains, 2 à 4 fois moins consommatrices en eau pour une douche de 5 minutes. Vous pouvez également couper l’eau lorsque vous vous savonnez. Lavez-vous les mains à l’eau froide et utilisez un bac pour faire la vaisselle et rincer à l’eau froide.

Optimiser l’éclairage

L’éclairage est l’élément à tenir le plus en compte lorsque l’on veut économiser de l’énergie. On profite le plus possible de la lumière naturelle, qui est gratuite : on lave ses fenêtres, on ouvre les rideaux, on préfère les couleurs claires pour les murs.

Côté dispositifs d’éclairage, on peut économiser en moyenne 50 à 100 € par an si on opte pour des lampes performantes. On choisit l’éclairage en fonction de l’usage : pas trop agressif pour une lampe de chevet, assez puissante pour le plafonnier de la cuisine ou de la salle à manger.

La quantité de lumière est exprimée en lumen et est toujours indiquée sur les emballages. Pour obtenir une quantité de lumière donnée, les ampoules ont besoin de plus ou moins de puissance selon leur type.

Mettre en place la rénovation énergétique

La rénovation énergétique est l’ensemble des procédés visant à réduire la consommation d’énergie.

Il incombe à la mise en place de plusieurs travaux d’économie énergétique :

L’isolation

L’isolation est une méthode visant à limiter le transfert de chaleur entre une zone froide et un endroit chaud. Il faut alors insuffler un peu de fraîcheur dans un endroit chaud en été et apporter de la chaleur dans un lieu froid en hiver.

Ce mécanisme a pour principe la réhabilitation de tous les ponts thermiques comme le sol, la porte, le plancher, la fenêtre et la toiture. Le processus qui est l’isolation thermique implique dès lors l’application d’isolant sur ces éléments de sorte à stocker la chaleur et la fraîcheur. Ensuite, de les libérer au cours de la saison adéquate.

La ventilation

La ventilation est un mécanisme visant à aérer un endroit. Il consiste au sens plus large à se débarrasser du gaz carbonique pour laisser le maximum de place à l’oxygène. Il existe alors deux types de ventilation, la ventilation par l’intérieur et la ventilation par l’extérieur.

La ventilation par l’extérieur consiste à insuffler de l’air chaud à l’aide d’un tube géant. Cet air chaud riche en oxygène aspirera le gaz carbonique. Pour ce qui est de la ventilation par l’intérieur, il consiste à évaporer de l’air frais mais pur à l’intérieur d’un endroit.

L’amélioration du système de chauffage et de climatisation

Ce processus consiste à se chauffer de façon naturelle sans pour autant utiliser l’électricité. La méthode la plus courante est l’usage de l’énergie solaire. On installe alors des panneaux liés à tous les appareils électroménagers et qui capteront l’énergie solaire.

Ces derniers fonctionneront alors grâce aux rayons ultra-violets. Il existe aussi les thermopompes qui consistent à récupérer les énergies s’évaporant dans l’air. Ces énergies seront alors converties en chaleur pour réchauffer l’eau et faire démarrer toutes sortes de dispositifs.

Les avantages de l’éolienne

L’énergie éolienne représente une énergie renouvelable qui ne sollicite aucun carburant, n’engendre pas de gaz à effet de serre, n’émet pas de déchets toxiques ou radioactifs. Elle participe, sur le long terme, à la préservation de la biodiversité des milieux naturels, en luttant contre le changement climatique.
L’éolienne permet de produire de l’électricité sans dégradation de la qualité de l’air, mais aussi sans polluer les eaux et les sols.
Les parcs éoliens peuvent être mis en place sur des terres agricoles. Dans ce cas, uniquement 2% du sol est nécessaire pour les éoliennes. La superficie restante est disponible pour cultiver, élever, etc. Un parc éolien se bâtit rapidement, et son démantèlement assure la remise en état du site primaire.
La production éolienne d’électricité se conforme à notre conso d’énergie : le vent souffle plus en période hivernale, sollicitant plus d’électricité. Grâce à elle, vos factures d’électricité vont baisser et vous serez à l’abri des coupures de courant.

Les inconvénients

L’électricité éolienne est une énergie irrégulière, elle ne définit pas une politique énergétique et notamment environnementale, l’issue consiste au couplage de l’électricité éolienne à des panneaux solaires photovoltaïques.
Le paysage n’est pas esthétique, sans oublier le problème de bruit et d’interférences électromagnétiques pour certaines éoliennes.
L’énergie éolienne dépend de la topographie, du climat ainsi que de l’environnement.
Si vous choisissez d’installer une éolienne, favorisez l’autoconsommation énergétique qui vous offre ainsi plus d’économies que la vente de l’énergie proposée par un fournisseur.

Qu’est-ce que le décret tertiaire ?

Dans le cadre de la loi ELAN, le décret tertiaire fixe des obligations de réduction de la consommation énergétique pour les bâtiments à usage tertiaire. Il précise également des objectifs très précis et échelonnés, et des niveaux de consommation d’énergie à atteindre, par rapport à une année de référence ou bien par rapport à la consommation énergétique des bâtiments nouveaux de chaque catégorie d’activité.

Les acteurs concernés sont soumis à des obligations légales : contrôler la consommation énergétique de leurs bâtiments tertiaires, se charger de la collecte des données et les renseigner sur la plateforme dédiée (OPERAT), gérée par l’ADEME.

Qui est concerné par le décret tertiaire ?

Tous les organismes sont concernés par le décret tertiaire, qu’ils soient privés ou publics, dans la mesure où ils exploitent des bâtiments tertiaires dont la surface dépasse les 1000 m². L’obligation s’impose à la fois aux propriétaires et aux locataires. L’étendue de la responsabilité doit être mentionnée dans le contrat de location.

Les acteurs concernés doivent mener toutes les actions nécessaires, conduisant à une baisse de la consommation d’énergie.

C’est quoi un bâtiment tertiaire ?

Ce sont les bâtiments exploités pour des activités du secteur tertiaire : commerces, bureaux, enseignement, infrastructures collectives, cafés / hôtels / restaurants, établissements destinés à recevoir du public…).

Pour les entreprises industrielles, il s’agit aussi de certaines parties de leurs bâtiments : ceux à usage tertiaire c’est-à-dire les bureaux administratifs, les espaces de restauration, etc…

Quels sont les objectifs définis par la loi ?

Le décret tertiaire impose une diminution de la consommation énergétique du bâtiment, par paliers de décennie : 40% en 2030, 50% en 2040 et 60% en 2050. Cette réduction se mesure par rapport à une année de référence. Cela peut être, au plus loin l’année 2010 ou, si les données ne sont pas disponibles, une année plus récente.

Il est possible d’opter pour un autre mode de calcul. À la place des objectifs périodiques, les organismes peuvent, selon l’activité exercée, remplir leur obligation en ayant une consommation énergétique inférieure à un certain seuil.

En cas de non-respect des objectifs fixés par le décret, le risque d’amendes est de 1 500 € pour une personne physique et 7 500 € pour une personne morale. De plus, afin de sanctionner sévèrement les entreprises qui souhaiteraient échapper à leurs obligations, il est prévu la publication d’un site internet regroupant tous les mauvais élèves (on parle alors de « name and shame »).

Quels sont les leviers d’actions à mettre en place ?

Pour éviter les pénalités éventuelles, les entreprises ont tout intérêt à mettre en place des mesures efficaces permettant l’optimisation de leur performance énergétique.

Le décret tertiaire fixe des valeurs à atteindre, mais n’impose aucun cadre pour y parvenir. Les organismes concernés ont toute la liberté de décider des moyens à mettre en œuvre. Parmi les actions possibles à mettre en place, voici quelques exemples :

• agir sur la performance énergétique du bâtiment (isolation, chauffage…) ;
• installer des équipements performants, équipés de dispositifs de contrôle et de suivi ;
• sensibiliser les occupants aux bonnes pratiques ;
• piloter la performance énergétique grâce à un système de management de l’énergie.

Rappels sur quelques-uns des enjeux d’envergure en France

Comme vous le savez, le principe de la méthanisation est ceci : grâce à cette méthode, on produit du biogaz, aussi appelé « gaz vert » et le système de méthanisation se fait par fermentation des déchets agricoles ou des ordures ménagères. Mais vous voulez sans doute connaître la part de la méthanisation dans la fourniture d’électricité en France. Elle est de seulement 0,1 % de la consommation de gaz. Et pourtant, si on en croit l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie, la France a la capacité de combler ses besoins en gaz, c’est-à-dire à 100 %, d’ici 2015, dont 30 % par le moyen de la méthanisation.

Les autres énergies renouvelables

Dans le domaine du chauffage renouvelable, il faut admettre que notre pays est très en retard. D’ici l’an prochain, l’objectif qui a été fixé et qu’il aurait été souhaitable d’atteindre, c’est de l’ordre de 23 % alors est que 50 % de la consommation énergétique des foyers utilisent le chauffage. Heureusement que l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie ou Ademe propose un financement pour les projets d’équipement de chauffage fonctionnant à l’aide des énergies renouvelables. Sont concernés les réseaux de chaleur, les chaufferies au bois, les centrales géothermiques. On peut dire que ce financement tombe à point nommé mais les demandes sont trop fortes, ce qui le rend insuffisant.

Les enfants sont impliqués dans le maintien d’un environnement sain

Un enfant a davantage de chance de contracter les microbes qu’un adulte. Les petits ont l’habitude de toucher à tout ce qui se trouve dans leur environnement immédiat. Ce qui favorise la prolifération de germes en tout genre. De ce fait, les enfants doivent se laver les mains régulièrement. Les petits devraient aussi enlever leurs chaussures avant d’entrer à la maison. Certains jouets doivent rester dehors. Dans la mesure du possible, le contact physique avec les animaux de compagnie devrait être limité.

Imposer quelques restrictions environnementales, surtout pour les adultes

Les fumeurs ne doivent pas fumer dans les pièces où les enfants circulent librement. La cigarette devrait être interdite dans la voiture si des enfants prennent le même véhicule. Les effets de la nicotine sur les fumeurs passifs sont nombreux. Outre les problèmes respiratoires et les allergies, certains nourrissons développent le syndrome de la mort subite. L’utilisation d’aérosol et autres parfums doit se limiter au strict nécessaire. Ces produits sont agréables pour les adultes, mais occasionnent des soucis de santé chez les enfants.

Prendre des mesures en fonction de la situation

La responsabilité d’assainir l’environnement dans lequel les enfants évoluent revient aux parents et aux adultes. Ils ont intérêt à réfléchir sur la meilleure manière de rendre la maison encore plus propre. L’usage intensif de produit d’entretien de type eau de javel ne constitue pas une fatalité. Les objets éventuellement dangereux sont à éloigner du regard des petits. Les médicaments et tous les produits chimiques devraient se trouver dans des placards fermés à clé.

Le montant de la prime énergie

La première condition pour bénéficier de la prime énergie du gouvernement est d’effectuer une demande préalable avant que vous ne commenciez vos travaux de rénovation énergétique. Tous les ménages peuvent avoir une prime énergie. Toutefois, le montant dépend du niveau de revenus des ménages. Puisque la prime énergie dépend du revenu de chaque ménage, les plus aisés recevront une prime énergie moins importante. Les foyers plus modestes sont donc plus favorisés.

Le type de chantier, le type d’énergie ainsi que la superficie du logement influent également sur le montant de la prime énergie. Le bénéficiaire doit également déterminer son statut (propriétaire ou locataire). Les travaux doivent aussi porter sur un logement principal ou secondaire qui date de plus de deux ans.

Les travaux de rénovation énergétique éligibles

La plupart des travaux qui contribuent à une économie d’énergie peuvent être financés par la prime énergie.

– Isolation
Tous les travaux d’isolation qui visent à améliorer la performance énergétique d’un logement sont concernés par la prime énergie. Il peut s’agir de l’isolation des combles, de la toiture, des murs, etc.

– Chauffage
Les travaux liés au remplacement et à l’installation de nouveaux dispositifs de chauffage bénéficient d’une prime énergie. Parmi ces solutions de chauffage plus écologiques, on peut citer le radiateur à chaleur douce, le ballon thermodynamique, le plancher chauffant à basse température, etc.

– Énergie renouvelable
Les appareils qui produisent de l’énergie et qui réduisent le rejet de gaz à effet de serre sont éligibles à la prime énergie. On peut citer les travaux d’installation d’une pompe à chaleur eau-eau, d’un chauffage solaire individuel, de panneaux solaires, etc.